jeudi 11 février 2010

Weinstock undisputed champion of the "Sharia" Islamic law that strongly rejected by the Progressive Muslims


At a conference in Paris last December, Daniel Weinstock, an advisor to the Bouchard-Taylor commission, praised the report by Marion Boyd, which in 2004 recommended the introduction of Sharia courts in Ontario. The French Pascal Hilout Mohamed was put in his place. Listen to the audio recording.

Last December was held in Paris a conference under the theme: Identities, affiliations, diversities. Islam and national identity

The symposium, which Daniel Weinstock participated, was organized by the French Commission Islam & Secularism with support from UNESCO. In the context where France has become in thirty years a multicultural society, the symposium sought to raise the issue of defining the nation. Daniel Weinstock, director of the Center for Research in Ethics at the University of Montreal and a member of the advisory committee of experts from the Bouchard-Taylor has given a speech under the title "Identity and multicultural societies." He praised the report by Marion Boyd, in 2004, the Ontario government recommended the introduction of sharia courts having jurisdiction over family disputes. For naïviste Daniel Weinstock (more pedantic than that ... you die!), The report of Ms. Boyd was "extremely intelligent, extremely thin and harsh."

Recall that the proposal of Mrs. Boyd was dismissed by the McGuinty government through the success of strong international campaign led by the Canadian-Iranian Homa Arjomand. This success has earned him being named Woman of the Year by The Gazette of Women in 2005. In 2006 she was awarded the Toronto Humanist of the Year and the price of Humanist Association of Canada.

Read the following article (with the audio presentation of Weinstock) by clicking on the title: Daniel Weinstock supported the Shariah

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Weinstock champion incontesté de la « charia », cette loi islamique vivement rejetée par les musulmans progressistes


Lors d'un colloque à Paris en décembre dernier, Daniel Weinstock, conseiller auprès de la commission Bouchard-Taylor, a fait l'éloge du rapport de Marion Boyd qui, en 2004, recommandait l'introduction de tribunaux de la charia en Ontario. Le Français Mohamed Pascal Hilout l'a remis à sa place. Écoutez l'enregistrement audio.

En décembre dernier se tenait à Paris un colloque sous le thème: Identités, appartenances, diversités. Islam et identité nationale

Ce colloque, auquel Daniel Weinstock participait, était organisé par la Commission française Islam & Laïcité avec le soutien de l'UNESCO. Dans le contexte où la France est devenue en trente ans une société multiculturelle, ce colloque cherchait à poser la question de la définition de la nation. Monsieur Daniel Weinstock, directeur du Centre de recherche en éthique à l'Université de Montréal et membre du comité consultatif d'experts auprès de la Commission Bouchard-Taylor y a donné une allocution sous le titre «Identités et sociétés multiculturelles». Il a fait l'éloge du rapport de Marion Boyd qui, en 2004, recommandait au gouvernement ontarien l'introduction de tribunaux de la charia ayant juridiction sur les litiges en matière familiale. Pour le naïviste Daniel Weinstock (plus pédant que ça... tu meurs!), le rapport de Mme Boyd était «extrêmement intelligent, extrêmement fin et rigoureux».

Rappelons que cette proposition de Mme Boyd a été rejetée par le gouvernement McGuinty grâce au succès de la vigoureuse campagne internationale menée par la canadienne d'origine iranienne Homa Arjomand. Ce succès lui a valu d'être nommée femme de l'année par La Gazette des Femmes en 2005. En 2006, elle a reçu le prix Toronto Humanist of the Year et le prix du Humanist Association of Canada.

Lire la suite de l'article (avec les extraits audio de la présentation de Weinstock ) en cliquant sur le titre: Daniel Weinstock favorable à la charia

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mercredi 3 février 2010

So I'm online, alors je suis en ligne!


The debate on banning the burqa has been revived once again. There are pressures for Canada to enjoin the way to France on the way to banishment from the full veil.
In recent days, the Liberal leader Michael Ignatieff did not share against the determination of France. He believes that Canada should not follow the trend and try to ban the wearing of the burqa.
This statement startled the author of the book "My life against the Koran." Djemila Benhabib, who lived twenty years in a Muslim country, believes that wearing the burqa has nothing to do with religion.
"I spent 20 years in a Muslim country and I have never seen in Algeria, the Islamic dress this way. This garment is not grafted in Islam ", has maintained Djemila Benhabib.
From a confident tone, said she does not understand and can find no reason to justify the wearing of burqas or belief, or tradition or culture. This sign, she sees it primarily as a political gesture.
The position of Liberal leader echoed a request from the Muslim Canadian Congress (MCC), which considers the concept of multiculturalism as conveyed in Canada should be better managed to avoid slipping to accommodate religious extremist currents.
This idea is echoed by Ms. Benhabib believes that he must struggle against fundamentalism. The author believes that the twenty-first century women have no reason to disappear and hide their identity to walk in the street.
A danger underestimated
"Canadian politicians underestimate the danger of Islamic fundamentalism and they do not bear the attention they should. Democracies respect their freedom of conscience outcome of collective struggles. The burqa is not related to freedom to believe or not believe, "said Ms. Benhabib.
In recent days, the Liberal leader stated that he believed "deeply in freedom of religion and freedom of belief." He noted the need to respect choices, while giving the company a role that allows women to be supported, if they wish to escape the clutches of their faith.
These words, as subtle as possible, do not quench Djemila Benhabib. She expressed support for this freedom, but confesses to preferring the freedom of religion freedom of conscience. She insists, the burqa is reducing both the man for the woman. The first being relegated to the status of eternal predator and the latter seen as eternal temptress.
"This is an issue that concerns everyone and that affects the dignity of men and women. We must rid ourselves of this scheme sterile and infantile animals, "insists her.
In France, the fate of the burqa is not yet cast. French Prime Minister Francois Fillon has asked the State Council to study the possible legal solutions which would ban the veil in public places and public reception.
Anne Humphreys
Anne Humphreys Anne Humphreys

So I'm online, alors je suis en ligne!


Le débat sur l'interdiction de la burqa a été relancé une fois de plus. Des pressions s'exercent pour que le Canada enjoigne le pas à la France sur la voie du bannissement du voile intégral.
Au cours des derniers jours, le chef libéral Michael Ignatieff s'est inscrit en faux contre la détermination de la France. Il estime que la Canada ne doit pas suivre le courant et tenter de bannir le port de la burqa.
Cette déclaration a fait sursauter l'auteure du livre «Ma vie à contre-Coran». Djemila Benhabib, qui a vécu une vingtaine d'années dans un pays musulman, estime que le port de la burqa n'a rien à voir avec la religion.
«J'ai vécu 20 ans dans un pays musulman et je n'ai jamais vu, en Algérie, des musulmans s'habiller de cette façon. Ce vêtement n'est pas greffé dans l'Islam», a maintenu Djemila Benhabib.
D'un ton assuré, elle a affirmé ne pas comprendre et ne trouver aucun motif pour justifier le port de la burqa, ni la croyance, ni la tradition, ni la culture. Ce signe, elle le perçoit d'abord comme un geste politique.
La prise de position du chef libéral faisait écho à une demande du Congrès musulman canadien (CMC) qui considère que la notion du multiculturalisme telle que véhiculée au Canada devrait être mieux encadrée pour éviter d'accommoder les glissements des courants religieux extrémistes.
Cette idée est reprise par Mme Benhabib qui estime qu'il faut lutter contre l'intégrisme. L'auteure considère qu'au XXIe siècle les femmes n'ont aucune raison de s'effacer et de cacher leur identité pour marcher dans la rue.
Un danger sous-estimé
«Les politiciens canadiens sous-estiment le danger de l'intégrisme musulman et qu'ils n'y portent pas toute l'attention qu'ils devraient. Les démocraties respectent la liberté de conscience issue des luttes collectives. La burqa n'est pas liée à la liberté de croire ou de ne pas croire», a ajouté Mme Benhabib.
Au cours des derniers jours, le chef libéral a énoncé qu'il croyait «profondément dans la liberté de la religion et la liberté de la croyance». Il a fait état du nécessaire respect des choix, tout en attribuant à la société un rôle qui permet aux femmes d'être appuyées, si elles désirent échapper à l'emprise de leur foi.
Ces propos, aussi nuancés que possible, n'apaisent pas Djemila Benhabib. Elle dit souscrire à cette liberté, mais avoue préférer à la liberté religieuse la liberté de conscience. Elle insiste, la burqa est réductrice tant pour l'homme que pour la femme. Le premier étant relégué à un statut d'éternel prédateur et la seconde perçue comme éternelle tentatrice.
«C'est une question qui regarde tout le monde et qui touche à la dignité des hommes et des femmes. Nous devons nous débarrasser de ce schéma stérile, infantilisant et animal», insiste-t-elle.
En France, le sort de la burqa n'en est pas encore jeté. Le premier ministre François Fillon a demandé au Conseil d'État d'étudier les possibles solutions juridiques qui lui permettrait d'interdire ce voile dans les services publics et les lieux d'accueil du public.
Anne Humphreys